Latowidge…Il n’existe pas une plus grande école que celle-ci à des kilomètres à la ronde, cette école est très connue avec une réputation plus qu’honorable. Latowidge offre une éducation seulement au fils et fille des ducs et duchesses des alentours. Ils sont tous des futurs héritiers de famille très riches et puissante. Cette école est aussi très grande, quand on la connait pas, il est facile de si perdre, tous ces recoins et ces couloir, ils ce ressemblent tous, long et lumineux, plein de fenêtre qui offrent une vue sur de magnifiques jardin.

Je ne me rendais que très rarement à Latowidge, tout d’abord car cette école était assez loin du manoir Rainsworth, il me fallait traverser toute la ville en passant par des chemins étroit et terreux, de plus je n’avais pas toujours besoin de m’y rendre. J’avais pourtant décidé de m’y rendre, je cherchais des informations sur une tragédie qui c’était déroulé il y à maintenant cent ans. Tout le monde connais cette histoire que l’on soit cultiver ou non, cette tragédie qui il y a cent ans a plongé une ville entière dans l’abysse, tuant des milliers de personnes, mais savons-nous réellement ce qui c’est passer cette journée là ?

J’en doutais, tous les livres que j’avais pu trouver jusqu’à maintenant étaient plutôt vague, n’expliquant que très brièvement les événements, sans jamais aller en profondeur… Tissus de mensonge ou vérité ? Je ne savais pas, comment aurais-je pu savoir ? Entre ragots et histoires toute différentes les unes des autres, je voulais savoir comment cette journée c’était passer, jusqu’au plus petit détaille, même insignifiant. Je savais dans quoi je me lançais, je n’avais pas peur, même si toute cette histoire était plutôt sensible et moi qu’un simple serviteur, je voulais savoir.
La tragédie du sablier, nom tristement célèbre que tout le monde connait et à déjà entendu, comme toute tragédie, quant une tragédie serra heureuse je serrais sans doute plus de ce monde. C’est pour toutes ses raisons que j’avais décidé de me rendre à la bibliothèque de Latowidge, bien sur avant de m’y rendre j’avais déjà minutieusement regardé dans la bibliothèque du manoir Rainsworth, mais malheureusement mets recherche n’avaient pas abouti à grand-chose…

Alors que dans cette école ce trouvait des centaines même plus peut être des milliers d’ouvrages, de toutes sorte, sans doute j’allais y trouver mon bonheur. Sa bibliothèque faisait aussi partit de s réputation, c’est sans doute la plus grande de toute la ville, elle contient aussi bien de vieux livre, comme des plus récent. Un vrai repère à trésor, mais dans tous ces livres ma tâche n’allait pas être facile, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin…

J’arrivais enfin devant le portail, il ce dressait devant porte ouverte, je traversais l’allé qui me séparais d’une des portes donnant sur le hall, toute été grand et si majestueux. J’essayais de me souvenir du chemin, je prenais un couloir, dans mes souvenir c’était le bon, mais cella faisait bien longtemps que je n’avais pas mit les pieds ici, des étudiant partout, qui rigole et vous regardes avec un air tellement supérieur, tous ça à cause de leur noblesse, un simple rang peut les mettre sur un pied s’étale si haut… Ils ce pensent tout permis, si ce n’est pas malheureux.
Les couloirs n’étaient pas très lumineux, il faut dire qu’il pleuvait, les gouttes d’eau venaient s’écrasé sur les fenêtres, ne laissant pas ou très peut rentrer la lumière du jour. Tout été calme, les bruits de mets pat résonné dans les couloirs, c’était le seul bruit que je distinguais.

-Que cette école est grande, je crois que je n’ai pas emprunté le bon couloir.

Je tournais en rond, passant et repassant toujours aux mêmes endroits, voyant toujours les mêmes statuts, les minutes défilaient et je cherchais toujours cette bibliothèque, je m’accoudais le long d’une fenêtre, regardant la pluie s’abattre sur cette dernière. Puis un groupe d’étudiant passer à côté de moi, je me redressais et je décidais de les suivre, avec un peut de chance ils allaient me mener directement à la bibliothèque. Je restais quelques mètres en retrait, au détour d’un couloir plus sombre que les autres, sur une porte je lisais enfin le mot qui m’intéresser, je laissais donc mes compagnons d’infortune prendre le large pour me rendre dans cette pièce. La porte était faite avec un bois foncé et très grande, comme pratiquement toute les portes de cette école, je l’ouvrais, un grincement se faisait entendre, puis j’entrais à l’intérieur.

Des livres, des livres, encore des livres, une montagne de livre et un homme…Un homme était assis, tout seul par terre, il avait entre ses mains un livre, normale quant on se trouve dans une bibliothèque… Cet homme avait l’air froid et solitaire, je n’avais nullement l’intention de lui parlait, il faisait plutôt peur si je puis dire, il me faisait penser à un ermite.

-Fait peur.

Ces mots sortais tout seul de ma bouche, je n’avais pas eu le temps dire ouf, enfin arrivé à la bibliothèque, je le fixais espérant qu’il n’avait pas compris, je pouvais toujours espérer, ce n’est pas interdit et puis…L’espoir fait vivre.

Le calme régnait encore en maitre dans la bibliothèque, mais cela n’allait certainement pas durée, deux hommes, des livres, pleins de livres et une discussion, mal, même très mal engagé. En disant ces mots tout hauts j’avais commis une grave erreur, ces vrai, je ne le connaissais pas, de quel droit je me permettais de juger, cette créature, heu désolé, cette personne. Malheureusement, je m’en rendais compte bien trop tard et le mal était déjà fait.

--Si vous parler de l’œuvre « Fait peur quand la nuit tombe » elle est juste à votre gauche, mais si vous parlez de moi je vous prierais de le faire plus discrètement car là vous déranger ma lecture et de plus me caractériser que je fais peur alors que je ne fait rien et que je ne vous ais pas parler avant, cela et complément bas mais bon on je ne critique pas vu que tout les gens de population basse sont pareil donc on ne change pas se qui est inéchangeable sa serait un temps complètement perdu pour moi-même. Même là j’use de ma parole pour vous parlez alors profiter de ceci pour réfléchir sur votre parole.

Je n’avais pas trente six milles solution, juste deux. Deux petite solution, qui n’allait pas forcément marcher, soit je m’entais, dans ce cas la, non, bien sur que non voyons, je ne parlais pas de lui mais de l’œuvre, ce magnifique livre « Fait peur quand la nuit tombe » une œuvre que je ne connaissais n’y d’Eve ni d’Adan, mais ce n’été pas grave, je pouvais bien faire comme-ci. Il avait l’air de bien ci connaitre en livre, alors ce mensonge allait-il marcher ? Bien sur, je n’aime pas mentir, mais je sais être très bon comédien quant je le souhaite.

La deuxième solution était de lui dire la vérité, mais dans mes souvenirs une bibliothèque, devait rester un lieu calme, paisible, sans bruit et encore moins avec des bagarres, ou les gens lise chacun dans leur coin et arpente parfois les allées à la recherche de nouveau livre. De plus je n’vais pas fait tout ce chemin depuis le manoir Rainsworth, j’étais venu pour essayer de trouver des livres, sur cette époque révolu. Imaginez-vous la famille Rainsworth, mêlé à une histoire de bagarre dans l’une des plus grandes écoles de ce pays, en plus à cause d’un simple serviteur ?
Non c’été tout simplement impossible, alors peut importe l’arrogance de ce typer étrange, je devais rester gentil et toujours sourire, faire le tout mignon, oui messieurs dames je sais faire. Rester poli, avec un ton poser, serin, comme ci je l’adorais cette personne… Beurk, j’en avais des haut de cœur, cette idée m’iriser tout les poils un par un, un peu comme les félin lorsqu’il fêle.

-Désolé de vous avoir dérangé, en faite je ne parler pas de vous, n’y de ce livre d’ailleurs. C’est juste de voir autant de livre, cela m’a rendu perplexe. En aucun ce n’est vous, en vérité je cherche des livres, sans s’avoir ou les chercher. Je vais vous laissez dans votre livre, encore une fois, désolé de vous avoir dérangé, cela n’été pas mon but.

C’est phrases étaient accompagné d’un large sourire, peut être trop large, toute personne assez intelligente aurait comprit la supercherie. Pourquoi j’avais dit ça moi, si il me demandait sur quoi portait mes recherche, je ne pouvais pas lui répondre voyons. Un sujet aussi sensible, non je ne pourrais pas lui répondre. Je faisais volte face, essaient, de m’éloigner le plus rapidement possible e cet homme, en faisant le moins de bruit qui soit. Je marchais sur la pointe des pieds, espérant qu’il ne me voit pas fuir et qu’il continu sa lecture.

Je partais en marchand sur la pointe des pieds, me faisant le plus petit possible pour passer incognito, je m’engouffrais dans le premier allée que je trouvais, celle juste derrière cet homme. Je marchais lentement, ne regardant pas le sol, combien de chance il avait-il pour qu’un morceau de verre ce trouve dessus ? Peu, très peu, même aucune, les chances étaient quasi nul, la chance ne me souriait pas aujourd’hui, je marchais donc dessus, il s’écrasait sur le sol, le bruit qui suivait résonnait dans toute la bibliothèque.

Je ne bougeais plus, moi qui voulait passer ni vu, ni connu, j’avais réussi mon cout… Je restais là sans bouger, toujours le pied sur ce morceau de verre, si je bougeais, cela causerait encore du bruit, cet homme risquerais de ce mettre en colère. Je devenais rouge, j’avais de plus en plus chaud, j’attendais toujours, dans ce rayons, sans bouger et respirant le moins possible.

J’avais le pied sur mon ami le morceau de verre et des gouttes de sueur du à la chaleur qui remontait en moi ce faisaient sentir. Je restais immobile ne savant pas somment réagir, je ne voulais pas me mettre cet homme à dos, à quoi bon hausser le ton contre cet homme bien détestable ? Cela ne servirait à rien à pat m’attirer des ennuis, je sentais le morceau de verre à travers ma chaussure, puis je sursautais, un écho ce faisait entendre dans tout la bibliothèque. Cela ressemblait fortement à un livre qu’on aurait fermé avec violence, je ne bougeais toujours, les gouttelettes de sueur se faisaient de plus en plus nombreuses et elles commençaient à couler. Des bruit de pas ci firent entendre, je me demandais si c’été cet homme habillé tout de blanc qui ce prenait pour le meilleurs, j’espérais simplement qu’il ne vienne pas fouinait dans ce rayon. Après tout, quand on voyait le nombre de rayons que procédait cette bibliothèque, il fallait vraiment pas avoir de chance.

La journée avait pourtant si bien commencé…Je me demandais ou tout avait foiré, cet homme, comme pas hasard et pour mon plus grand malheur ce diriger droit vers moi, parmi les multiples ranger, évidement c’été celle-ci qui l’intéresser, j’essayer de rester calme malgré ce qui s’approchait de moi. Moi aussi j’étais un homme, je devais me comporter comme tel, surtout dans un endroit comme Latowidge, je savais qu’il n’était pas rare de croiser des enfants des quatre grandes familles Ducale, je ne pensais qu’il en faisait partit. Il devait être comme moi, n’ayant aucun lien direct avec cette école, il était habiller tout de blanc, certes il portait l’uniforme réglementaire mais ce dernier lui allait tellement mal. Je pouvais très bien me trompais, à vrais dire je ne l’avais pas vu très longtemps, à peine quelques instants et encore, ces secondes n’avaient pas été des plus agréable, entrée dans un lieu et commençai directement par ce fritter avec un élève si je devais en suivre son uniforme et non mon flaire. Cet homme continuait à avancer, j’entendais ses pas plus distinctement à chaque foi, ils résonnaient dans ma tête, mon cœur battait un peut plus vite et la sueur était de plus en plus présente, je ne pouvais pas passer mon avant-bras pour m’essuyer le visage, l’homme aurait tout de suite comprit, j’avais beau l’avoir prit pour un pas doué de la vie je s’avais que ce n’été pas le cas à mon grand regret. Puis le calme revient, les pas avaient cessé, pendant un instant je me cru sauver et pensais que l’homme avait finalement fait marche arrière mais cela aurait été trop beau…

- Y a du verre là fait attention….à trop tard ! Zut je suis désolé pas eu le temps de le dire, mais aussi vous faites si peut attention, il est donc logique que cela vous arrive. Ne vous en prenez qu’à vous je ne suis aucunement fautif de cela.

Non, pas possible, je n’avais pas remarqué les morceaux de verre saperlipopette. Cet inconnu ce fichait ouvertement de moi, mais comme on dit, on verra bien qui rira le dernier. Sans doute pensait-il que j’allais prendre la mouche, mais la scène me faisait rire, un rire nerveux et incontrôlable, j’avais beau me retenir il devait quand même l’avoir entendu, question discrétion cella était loupé. Il est sur que j’aurais du deviner que de tel morceaux de verre ce trouveraient sue le sol… Mon pied était toujours à califourchon sur le morceau, je relevais enfin ma jambe après avoir longuement réfléchis à cet acte et je le posais quelques centimètre à côté sur la droite entre d’autre bout de verre.

- Et dire que les hommes comme vous sont autorisé à entrer dans cet établissement qu’elle honte! Le Lycée baisse en catégorie. Alalala, on se croit dans un moulin tout le monde peut rentrer comme ils veulent c’est pathétique.

Mes yeux s’écarquillaient, il ne manquait vraiment pas de culot, avec son air supérieur il commençait vraiment à me taper sur les nerfs, je me retournais un peu énerver mais je le cachais tant bien que mal sous un sourire forcé. Je baissais ma tête et la relevais, j’inspectais l’homme qui ce trouvait devant comme s’il était un être à par, or du commun venant d’une autre planète. L’uniforme ne lui collait pas à la peau, un si beau blanc, si pur faisait tache sur un homme aussi horrible de caractère. Les hommes comme moi ? Que voulait-il dire par là, seuls les enfants de bonne famille prétentieux avaient le droit de venir faire des recherches ? Je faisais comme ci de rien n’était et je l’ignorais, je me tournais vers une étagère et commençais à regarder les livres qui s’y trouvaient, j’effleurais délicatement les ouvrages. Je finissais par marchais en direction de l’homme bizarre et le regardant avec un ait supérieur je reprenais la parole.

-Auriez vous l’amabilité de vous poussez si ce n’est pas trop vous demandez, vous êtes en plein milieux de l’allée et par votre faute je ne pas me dirigez ou je le souhaite, quand à cette école en vous voyant avec cette uniforme bien trop grand pour vos frêle épaules je confirme que cette école devient au vrai moulin à vent…

Je restais devant lui, le regardant toujours de haut, je n’aimais pas spécialement parler ainsi à un étranger mais le comportement qu’il utilisé me plaisais pas du tout, je le trouvais tellement superficielle. De plus je savais que les hommes dans son genre n’aimait pas ce faire contredire pas un homme comme moi, d’une classe social bien plus bas que lui. J’étais peut être qu’un serviteur mais cela n’empêchait en rien sa façon d’agir, j’espérais qu’il n’était pas comme cela avec tout le monde… Cet inconnu ne devait pas être facile à vivre.

-Je faillis à tout mes devoirs, veuillez m’excuser, pendant que j’y suis-je me présente, Zack…Zack Rainsworth, maintenant pourriez vous laissez un espace ?

Bien sur j’avais omis de dire mon métier, avec un peut de chance il allait croire que j’étais un membre à par de cette famille bien connu….