Il fait vraiment bon d’être dans son lit, on y est tellement bien et c’est si dur de s’en aller. Le plus dur c’est peut être la manière d’où on est réveiller, moi ma servante avait trouver une bonne méthode. Tous les matins elle réveille d’une façon plutôt brutale, elle toque entre puis ouvre les rideaux… remarquez cela fonctionne, ce geste est toujours accompagné d’une phrase qui, généralement ne change pas :

-Il est l’heure de se lever Lady Sharon, votre thé vous attend dans le grand salon.

Ce matin-là en plus de cette phrase j’eu le droit à :

-N’oubliez pas que madame Lyria Bezarius nous ferra l’honneur de sa présence pour le déjeuner.

Et bien, je dois avouer que cela m’était complètement sortit de la tête. Je ne pensais même plus à ce déjeuner. Nous devions parler d’une chose importante pourtant, j’en avais presque honte. Mais je faisais comme si, autant garder cela pour moi-même. Vous voulez savoir sur quoi ce rendez-vous va être ? Désolé mais, si je vous le raconte, il n’y à plus d’intérêt à lire la suite de se texte.

Je me levais donc, d’un pas pas très décidé, je regagnais le grand salon, là je vis comme tous les matins ma tasse de thé qui m’est si chère, qui m’attendait, je la buvais lentement pour avoir le plus longtemps possible son bon gout dans la bouche. Ayant finis je regagnai ma chambre et enfin procédé à l’habillage de ma robe qui est un procédé plutôt compliquer. On à beau dire, mettre une robe de cette envergure, n’est pas chose simple, il faut être deux.

Avec tout cela, il était déjà dix heures et la jeune Lyria Bezarius, devait arriver dans une heure à peine au manoir. Durant cette heure, je me rendis dans le jardin, lieu de notre déjeuner, pour voir comment les préparatifs avançaient, je fis aussi une petite visite en cuisine, puis je retournai dans ma chambre, travailler un peu avant l’arrivé de mon hôte. L’horloge tournait et quand je relevais la tête, je m’aperçus qu’il était onze heures. J’avais pourtant demandé que l’on me prévienne de son arrivé…
Je descendis pour me rendre à la terrasse, pendant ce court trajet, je ne croisais personne. Arrivé à ce lieu, je ne vis qu’un majordome qui attendait patiemment, intriguer de ne voir personne, je lui posais alors une question :

-Auriez-vous vu mon invitée ?

-Non, Lady Rainsworth, je n’ai encore vu personne.

Cela m’intrigua fortement, car dans cette famille, ils ne sont que très rarement en retard. Je décidais donc de me rendre au portail, qui est gardé pas deux personnes armées.

-Messieurs, auriez-vous laissé entrer la diligence de mon invité ?

Un des deux, se tourna vers moi et me répondit :

-Oui, Lady Rainsworth, mademoiselle Bezarius est arrivée, il y a environs vingt minutes.

Je dois dire que je ne comprenais pas vraiment. Je venais de traverser tout le manoir afin de me renseigner sur l’arrivé de mon invité, et voilà que celle-ci se baladerait en fait dans ma demeure. Ce n’était pas possible, je ne l’avais pas croisé pourtant. Je me tournais alors vers mon manoir. Bon… la question était ou se trouvait cette Bezarius ?

Elle ne s’était tout de même pas envolée ! Mais le plus ironique dans tous cela, c’est je ne savais même pas à quoi pouvait-elle ressembler. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Si elle était vraiment du sang de cette famille, logiquement… elle devait être blonde, comme Oz, enfin ce n’était que des suppositions.
Je rebroussais alors chemin, direction le manoir, c’était un peu bête de perdre une invitée et puis… peut être qu’elle m’attendait déjà à table. Oh que non, je n’osais même pas imaginer la honte. Bref, ou qu’elle soit et quoi qu’elle fasse je devais la rejoindre.

J’avais décidé de retourner au lieu de notre rendez-vous, encore une fois, on ne sait jamais peut être avait-elle trouvait un raccourci même si je dois bien l’avouer je n’avais pas grand espoir. Je me demandais bien ou elle avait put se volatiliser, je sais bien que se manoir est grand mais tout de même, se serait bien la première à réussir l’exploit de se perdre. De plus je ne savais toujours pas à quoi elle ressemblé, je pouvais juste supposait sa couleur des cheveux mais après quelle âges avait-elle, quelle vêtement portait-elle ? Je crois qu’elle non plus ne savait pas à quoi je ressemblé, nous étions dans de beau draps…

En repartant je décidais de passer pas les cuisines, il y a plusieurs couloir qui mène à la terrasse et celui-ci en fait partit. Peut être que cette Bezarius avait eut un petit creux, qui sait. J’entrais dans les cuisines, à l’intérieur une mauvaise surprise m’attendais, il manquait un bout du gâteau qui était normalement (au départ mais plus maintenant) pour le dessert. La question qui me brulait alors les lèvres était : est-ce mon invité qui avait osez faire cela ? Si c’était le cas, sa commencer assez mal, personnellement je n’aurais jamais fait une telle chose d’une car cela ne se fait pas et deuxièmement se serrait une insulte à toute les règles que l’on ma apprise dans ma jeunesse.
Je continuais ensuite ma route, traversa les cuisines, d’ailleurs je commençais à avoir mal aux pieds, arpenter le manoir de long, en large et en travers, un si grand manoir surtout avec des talons est un exercice très difficiles, très peu banal… et surtout qui vous tues des pieds… J’étais enfin arrivé à la terrasse, là le spectacle était monstrueux une des tasses se trouvait par terre et gisez à coté de celle-ci du thé, qui avait fait une tâche sur le tapis. Soit dit en passant la tasse sui se trouvait par terre était la mienne avec le fin de mon thé que je n’avais pas eu le temps de finir car j’étais partit à la rechercher de cette Bezarius qui à force commencer à me taper sur le haricot.
A ce moment, je me demandais si mon invité se fiché de ma tête, se que je n’espérer pas surtout pour elle, si c’est qu’elle était plus que maladroite, ou enfin la dernière hypothèse un peu des deux elle aurait put faire tomber la tasse par accident et le gâteau par contre…
Heureusement pour elle, je dos faire honneur à ma famille, je devais absolument garder mon calme dans toute les circonstances. Je fis en grosse effort et prit sur moi, se qui ne m’empêchais pas de sortit l’éventail tout de même…

- Mon dieu, cette Bizarius me fait vraiment perdre patience, j’espère la retrouver au plus vite.

A peine j’avais finir de dire cette phrase que j’entendis un bruit, comme si quelque chose ou quelqu’un était tombé par terre. Etait-ce elle, m’aurait-elle entendu ? Si elle m’avait entendu comment allait telle réagir à ce que je venais de dire ? La honte m’envahissait, je décidais de déplier avec délicatesse mon éventail et le mettre devant ma bouche pour essayer de cacher mon air gêné. Pourtant j’avais toute les raisons du monde de lui en vouloir. Plein de pensé m’envahissait en quelques secondes, je devenais de plus en plus rouge au fur et à mesure que les secondes défilaient. Moi, qui normalement restais calme…Je ne savais même plus si je devais me dirigé à l’endroit d’où venait le bruit, je décidais alors de demander si il y avait quelqu’un :
-Excusez-moi, y aurait-il quelqu’un, serait-ce vous madame Bezarius ?
J’attendais un long moment, en vain aucune réponse ne me revenus, je renouvelais donc mon geste, dans l’espoir que cette fois ci quelqu’un allait me répondre, je n’étais pas devenus folle, j’étais sur d’avoir entendu quelque chose tomber

-Madame Bezarius c’est vous ?

J’avançais délicatement, toujours mon éventail en main devant mon visage, cette situation m’exaspérait, par politesse dans la famille Rainsworth, quant on posait une question on répondait, c’est une question de principe. Cependant il faut croire que ce n’était pas partout la même chose, suivant les familles ducales nous ne recevons pas la même éducation sur la politesse il faut croire. Ma patience à des limites qui commençaient à être atteinte, la cause était très simple cette Bezarius sur qui je ne savais toujours rien, je sais bien qu’il ne faut pas tirer de conclusion hâtive mais je craignais que celle-ci est eu dans sa jeunesse un manque d’éducation.
Je ne peux pas dire que je sois vieille, mais j’étais toujours trop âgé pour jouer au chat et la souris… Même si dans mon cas présent c’étais plutôt une chasse à l’homme si je puis dire… Je m’avançais en direction du bruit que j’avais entendu quelques instants au paravent, je me faisais la plus discrète possible, si seulement sa pouvait être enfin elle. Le silence avait reprit le dessus, celui-ci ne dura pourtant que très peu de temps, il fut brisé par une voie :

-AH ! T’es pas tombé bien fait, je suis la meilleure !!!

D’après se que je pouvais entendre c’été une voie de femme qui semblais plutôt jeune, voila enfin la première indication que j’avais sur elle. La personne que je cherchais était plutôt jeune, je ne dirais pas plus de vingt cinq ans. C’était elle j’en étais sur à présent, c’étais bien cette Bezarius qui était cacher là, enfin je l’avais trouvé, après l’avoir cherché en vain dans tous le manoir, je l’avais trouvée, elle était là, il y avait juste quelques mètres qui nous séparer l’une de l’autre et ses mètre je comptais bien les faires pour enfin la voir, savoir à quoi elle ressemblait, savoir pourquoi elle me fuyait.

Mais se que je ne comprenais pas, c’été pourquoi elle se cachait ? Certes elle avait mangé un morceau de gâteau, casser une tasse, sans compter qu’elle m’avait fait perdre ma matinée en lui courant après, la cherchant dans tous les couloirs du manoir. Tous de même, j’étais énerver, oui je vous l’accorde mais pas au point de la manger ou faire un geste que je regretterais plus tard, j’ai un rang à tenir.

De plus je ne comprenais pas pourquoi elle venait de dire cette phrase, aurait elle encore fait tomber un objet, qu’elle aurait pu cette fois rattraper avant que celui-ci ne touche le sol et ne se brise ? Puis je voyais des bras qui se levais, ils formaient un V, serait-ce le V de victoire ? Moi la seul victoire que j’avais en ce moment c’été d’être sur que la personne présente devant moi était mon invitée, puis les bras se baissèrent et plus rien, le silence reprit le dessus. J’avançais vers elle d’un pat décidé, malheureusement j’arrivais trop tard, elle avait déjà disparut.
Je regardais autour de moi, j’apercevais une petite porte dérobé, elle l’avait sans doute prise pour encore une fois s’enfuir… J’étais à bout, elle était là juste sous mes yeux et cette Bezarius avait eu le culot de partir. Je devais encore lui courir après, je commençais à avoir mal au pied, imaginez vous courir dans tous les sens avec des chaussures à talons, cela est douloureux au fur et à mesure que l’on avance dans la journée.

Je décidais de la suivre, à travers le manoir, je passais la porte, regardais autour de moi, je la voyais que de dos. Connaissant à peu près toutes les personnes travaillant pour ma famille, il me semblait bien qu’aucun d’entre eux étaient roux, voila comment j’apprenais une information de plus sur elle… Cette Bezarius était rousse avec de longs cheveux, cette couleur me faisait penser aux cheveux d’Oz… Elle courait très vite déambulant dans les couloirs du manoir, évitant les personnes qui passaient par là. Je dois bien dire que j’avais un peu de mal à la suivre, ce,’est pas tous les jours que je cour et je ressens bien mon manque d’entrainement, sans aurait-il fallut que je prenne des cours d’éducation physique.

Je la suivais tant bien que mal à travers le château, je me demandais bien quant elle allait enfin finir sa course d’abord par ce que j’en avais plus que marre d’arpenter ce manoir, il faut bien reconnaitre que ce dernier est grand, et en second cela peut paraitre absurde dans une telle situation mais j’avais envi de thé… Oui, une bonne tasse de thé, rien de telle pour me calmais.
Je l’avais enfin retrouvé, elle était là avec sa grande chevelure rousse, arrêtait devant l’escalier, dos à moi, puis elle se retournait dans ma direction, je continuais à avançais mais cette fois-ci en marchand, se qui me permettais de reprendre mon souffle.
Je la voyais reculer petit à petit au fur et à mesure que je m’avançais de cette jeune femme, puis se qui devait de produire se produisit, elle tombait dans l’escalier, je n’avais pas eu le temps de la mettre en garde, elle le dégringola. A ce moment précis j’avais oublié tous se qui c’été passer auparavant, je me faisais pour cette Bezarius, il y avait peut être que peu de marche, mais cela suffit pour se faire mal…
Je descendais sur le chams les peu de marche qui nous séparaient, je pouvais enfin la découvrir, savoir à quoi elle ressemblait, je ne m’étais pas tromper elle était plutôt jeune. Cette dernière n’était pas morte, forte heureusement d’ailleurs, vu qu’elle prononçait quelques paroles :

-J’ai maaaaaaal !!!

Puis elle se relevait, ce qui me rassurait, mais la Bezarius c’était plein d’avoir mal, se qui ne m’étonnais pas de trop vu la chute qu’elle venait de faire. Je repliais mon éventail puis le rangeais, je lui faisais un sourire pour la mettre à l’aise, car je ne peux pas dire que je le pensais tant que ça, elle m’avait fait perdre une matinée entière tout de même, j’espère cette fois, qu’elle n’allait pas encore fuir… Je lui posait une question pour savoir ou elle avait mal, mais dans la précipitation, j’oubliais de me présenter, peut être que à cause de cet oubli elle allait avoir peur.

-Vous allez bien ?

Je ne s’avais pas à quel vitesse elle avait pu tomber, mais certainement assez vite, je n’aurais pas aimé être à sa place et d’ailleurs je ne l’étais pas. En tombant la robe de la jeune Bezarius c’était légèrement remonter et laisser apparaitre des bleus, cette couleur avait envahi tous les mollet de cette demoiselle, elle n’était vraiment peu doué… Tout ceci pour m’échapper, je ne s’avais pas que je terroriser à ce point les gens, mais je trouvais ce faite assez hilarant pour dire la vérité. Elle devait en avoir collectionné des chutes, combien ? Sans doute trop pour que ce nombre soit dit, peut être même trop pour le compter. De plus à quoi bon me fuir, je ne voyais sans aucun doute vraiment aucune raison.
La façon de placer ses mains m’intriguer, ça posture n’était pas franchement ce que l’on peut appeler naturel, la jeune invitée avait beau essayer de cacher une chose avec ses mains, elle bougeait dans tous les sens, je pouvais m’apercevoir qu’elle avait une jolie tache… Cette tache, ce n’été pas n’importe la qu’elle. Mon gâteau, c’été donc elle, elle qui avait mangé une part du magnifique dessert. Maintenant le problème dépasser largement le faite d’avoir peut de chance, c’été de la stupidité, doublé d’une impolitesse révoltante. Je serrais de plus en plus mon éventail, je voulais juste que cette dernière qui ce, non, MON manoir et sur le champ, malheureusement je n’étais pas au bout de mes peine, loin de là.

-J’ai vraiment de la chance moi j’ai crus que c’était la duchesse qui me poursuivais en plus on dit qu’elle a mauvais caractère des fois, mais bon je suis vraiment chanceuse aujourd’hui.

De la chance ? Ha…personnellement je n’aurais pas dit cela et par peur d’offusquer mon interlocuteur, je n’aurais même pas dit cette phrase si déplacé. Dans mes souvenirs la famille Bezarius recevais pourtant une bonne éducation, preuve en est, ce jeune garçon, fort sympathique, Oz…Oz Bezarius, il était tout le contraire de la jeune fille devant moi, polit, serviable et à l’écoute, alors qu’elle… Elle, je n’arrivais à trouver aucun mot sympathique pour dire son comportement, puérile, impolie. Bref, tous ce que j’aimais en clair, à ce moment mon éventail ne devait plus être que l’ombre de lui-même tellement je le serrais fort.
Je devais me contrôler, ne pas lui répondre et surtout garder mon calme, mais, la moutarde, la moutarde qui nous piques si fort le nez avant que l’on hurle, elle commençait à me monter au nez, doucement mais certainement. J’avais, contrairement à cette demoiselle reçu une bonne éducation, je s’avais à peut près me contrôler, mais comment allais-je réussir à continuer ainsi ?

-Mais dit moi qui es-tu ?

Qui je suis ? Une personne qui aime bien rigoler, j’ai parfois mauvais caractère c’est cela ? L’idée me venait d’un cout, quand je le souhaite, je sais m’amuser, certes pour la Bezarius la plaisanterie allait être de mauvais gout, mais pas autant que son vocabulaire… Tutoyer, depuis quand on ose tutoyer une personne, quel qu’elle soit d’ailleurs, mais là, oser me tutoyais, moi Sharon Rainsworth, héritière de la famille Rainsorth, c’été inconcevable, impensable, inimaginable…Je pense que vous l’auriez comprit, j’étais sous le choc. Cependant, j’étais fière de moi, ma vengeance allait être plutôt plaisante, pour moi bien sur, je n’étais pas franchement convaincu que ma chère invité, si gentille et poli, qui utilise le « tu » allait partager mon avis.

-Mon nom ? Peut importe, n’allons pas nous embarrasser de chose aussi futile, n’êtes VOUS pas d’accord mademoiselle Bezarius ? Si vous êtes d’accord je vais vous emmenez jusqu’au salon extérieur, de plus voyant votre robe, il serrait préférable d’en changer vous ne pensez pas ?

Un peu de gentillesse de ma part, cette scène était tellement drôle, j’en avais du mal à me retenir de pouffer, mais je continuais dans mon rôle d’hôtesse de maison, le principal c’été qu’elle y croit, rien d’autre.

Je donnais donc une jolie robe rose à la jeune demoiselle, cette couleur ne semblait pas être à son gout au vu de la tête qu’elle faisait. Pourtant le rose était une couleur si magnifique, comment était il possible de ne pas l’apprécier ? Moi qui en portais tout au long de mes journées, je ne pouvais comprendre, c’était un manque total manque de gout. Elle était partie ce changer, en l’attendais je regardais tranquillement par la fenêtre qui s’offrait à moi, le temps était radieux et portant je n’avais pu en profiter, la cause était cette jeune demoiselle qui m’avait fait courir à travers la demeure. Mais je restez courtoise, faisant bien attention à la politesse contrairement à cette dernière, le vouvoiement était pour moi une chose essentiel lorsque l’on s’adressait à une personne.

Je continuais de regarder dehors, la tête tourné vert l’herbe verte en attendant mon invité qui ne m’avais toujours par reconnu, je le contemplais, moi qui ne pouvais sortir pour en profiter. La demoiselle commençait à être longue, je ne savais pas depuis combien de temps je regarder le ciel bleu mais sans doute un long moment. La fin de l’été était là et sa ce voyer, les rose commençaient à faner doucement, perdant petit à petit tous leurs éclats blanc et rouge, quelle tristesse... Je fut interrompu dans ma réflexion, le jeune Bezarius était enfin habillé, enfin presque, ses cheveux était détachaient, ils lui tombaient le long des épaules, ses cheveux orange lui allait très bien et encore plus quand cela étaient détaché. Elle semblait bien plus vieille et mature que ce que j’avais pu constaté avec effroi pendant les minutes précédentes.
Le rose ne lui allait pas particulièrement bien, mais toujours mieux que la robe tachait qu’elle portait avant. Je la regarder de la tête au pied, avec l’une de mes si belles robes fuschia que je portais. Cette couleur n’allait pas à son teint, mais pour le moment nous devions nous en contenter.


-Sharon…Je suis désolée, je vous ais prise pour une enfant, je ne voulais pas vous offusquez de ma parole, mais j’avoue que ma chute m’avez un peu sonné.

Je me retournais serrant de plus belle mon éventail, cette petite Bezarius manquait vraiment d’éducation, ses paroles n’étaient pas vraiment agréables à entendre, son tact était des horribles. Une enfant âgée de 23 ans, depuis quand cela existait ? Je savais très bien que c’était la vérité, mais tous de même, sortir une telle chose qu’elle culot. Elle savait pertinemment qui j’étais, du moins, elle venait de s’en rendre compte, et ses première parole la faisait descendre bien bas dans mon estime. Je ne savais, plutôt trouvait pas de parole sympathique à lui répondre. J’étais habitué à ses réflexion assez désagréable, avec le temps je ne m’y habituais pas, bien au contraire, je n’étais pas bien grande et mon corps n’avait pas fini de ce développer et alors, était-ce une raison suffisante pour me tutoyais et me sortir pareille chose ? Je restais diplomate, ne changeant ni ma façon de parler ni le ton que j’employais, seul, mon sourire avait disparu.

-Que de paroles sympathique vous avez là, m’offusquais ? Non, jamais. Votre chute était des plus mémorable, mais si vous n’aviez pas essayé de fuir elle ne se serait pas produite.

Oui, si seulement elle n’avait pas fuit, rien de tout cela ne serrait arriver, elle ne pouvais pas ce contentais de suivre les serviteur et autre membre du personnel pour venir me rejoindre comme tous les autres invités, non mademoiselle préférais l’originalité, le manque de politesse, de tact ainsi que le faite de ce faire chercher en vain. Tous le monde avaient ses manies, même si certaine restaient étrange, j’espérais juste que la jeune Bezarius ne faisait pas la même chose à chaque fois que cette dernière devait répondre à une invitation. Elle reprenait la parole, proposant de continuer de parler devant une bonne tasse de thé. Oui, un bon thé, cela permettrait sûrement que je me calme plus vite.

-Vous parlez sans doute de lieu ou nous avions rendez-vous un peu plus tôt dans la journée ?

je restais polie, exactement comme mère me l’avait apprit, je n’étais peut être pas très gentilles dans mes propos, pais après tous, je ne disais que la vérité. Le thé avait du refroidir avec le temps que j’avais mi à la chercher et cette boisson n’était pas très plaisante tiède, je me disais que froide pour froide maintenant...